Bien que peu visible dans les rues, la prostitution est une réalité bien présente à Dijon. Derrière les façades de cette ville bourguignonne se cachent des lieux insoupçonnés où s’exerce le plus vieux métier du monde. Une alternative gratuite pour une rencontre sexe à Dijon est aussi proposée pour les clients !

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La loi française interdit le recours à la prostitution. Il est préférable d’utiliser le meilleur site de sexe gratuit (JM Date) pour coucher avec une femme sans payer. Si vous avez des doutes, lisez notre avis sur JM Date ICI !

Les multiples visages de la prostitution à Dijon

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La rue, un lieu délaissé par les travailleuses du sexe

Contrairement aux grandes villes comme Paris ou Marseille, les rues de Dijon ne sont pas investies par les prostituées. Depuis la pénalisation du racolage en 2003, les trottoirs dijonnais se sont largement vidés des femmes qui y faisaient commerce de leur corps. La loi a repoussé les pratiques vers des endroits plus discrets et moins exposés. Ainsi, il est rare de croiser dans les artères de Dijon des filles en jupe courte et talons aiguilles importunant les passants. Le racolage ostensible n’existe quasiment plus, remplacé par des moyens de communication plus subtils et confidentiels.

Les petites annonces, la porte d’entrée virtuelle vers les escorts dijonnaises

En lieu et place de la rue, internet est devenu le terrain de chasse privilégié des travailleuses du sexe dijonnaises. Sur des sites spécialisés pullulent des annonces d’escorts, présentant leurs tarifs et leurs prestations. Photos aguichantes et texto alléchants vantent les charmes de ces femmes, le plus souvent jeunes et séduisantes, prêtes à assouvir les fantasmes de leurs clients en échange de rétribution. Derrière l’anonymat d’un écran, la prostitution virtuelle permet un recrutement discret et efficace de la clientèle. Whatsapp et messageries privées permettent de conclure les transactions et de convenir des modalités de la prestation. Ces sites sont illégaux et servent de vitrine à des réseaux mafieux exploitant la misère sexuelle et affective.

Les feux rouges, supports de communication des filles de joie

Hérités de la prostitution de rue passée, les feux rouges dijonnais portent encore les stigmates de l’ancien racolage. On y trouve fréquemment des autocollants avec un prénom, un pseudo, et un numéro de téléphone portable. Il suffit d’appeler le numéro pour qu’une voix suave vous propose directement ses services sexuels et un rendez-vous. Ces petites annonces improvisées, collées à la va-vite, dénotent un mode de fonctionnement amateur et individuel, à la marge des grands réseaux organisés. Elles illustrent la débrouille de femmes isolées tentant de joindre les deux bouts. Derrière le stratagème rudimentaire se cachent aussi de nombreuses dérives.

Les bars à hôtesses, repaires de prostitution déguisée

Moins visibles que les trottoirs mais tout aussi actifs, certains bars et clubs dijonnais servent de couverture à la prostitution. Sous leur enseigne respectable, ils embauchent des hôtesses, serveuses, danseuses, dont le vrai métier est de faire consommer les clients… et de les suivre ensuite dans une chambre discrète. Certains établissements ferment même les yeux sur la présence de travailleuses du sexe indépendantes, qui racolent directement sur place. Bières, alcool et filles faciles font bon ménage. Si la présence d’hôtesses sexy est légale, les limites avec la prostitution pure sont souvent floues dans ces endroits glauques.

Les salons de massage, repaire de la prostitution masquée

Autre classique du genre : les salons de massage aux vitrines opaque et aux néons clinquants. Derrière la façade pseudo-zen se pratiquent des massages très spéciaux, aux tarifs exorbitants. La table de soin se transforme vite en lit de débauche quand la praticienne vous propose, avec un sourire entendu, une « fin heureuse ». Les salons asiatiques notamment sont tristement réputés pour ces pratiques qui relèvent sans ambiguïté de la prostitution déguisée. Même si certains sont légaux et pratiqués par des masseuses diplômées, d’autres cachent des réseaux mafieux et de la traite d’êtres humains.

L’alternative gratuite et légale pour une rencontre sexe à Dijon

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Plutôt que de recourir aux services onéreux et dangereux de prostituées, il existe une alternative gratuite, légale et éthique pour trouver une rencontre sexe à Dijon.

Il s’agit des meilleurs sites de rencontres pour adultes. Sur le meilleur site (JM Date), les Dijonnais et Dijonnaises en quête d’aventures sulfureuses ont l’embarras du choix. Contrairement aux idées reçues, de nombreuses femmes sont là aussi en quête de sexe sans lendemain.

L’avantage est double par rapport à la prostitution : d’une part c’est 100% gratuit, d’autre part cela repose sur un consentement mutuel dans un cadre légal. Ces plateformes permettent de prendre contact de manière transparente avec des partenaires réels désireux de partager une expérience épanouissante.

Il suffit de créer un profil honnête présentant ses intentions, de liker les profils qui nous plaisent et d’engager la discussion pour convenir d’un rendez-vous privé. Le choix est vaste avec des centaines de femmes à Dijon et les rencontres sexuelles concrètes sont facilitées par la géolocalisation.

En conclusion, à Dijon comme ailleurs, mieux vaut éviter le recours dangereux et illégal à la prostitution. Les meilleurs sites de rencontre libertins (voir le classement ici) offrent une alternative éthique, gratuite et légale pour assouvir ses envies sexuelles de manière consentie à condition de choisir un site fiable.

Le profil des prostituées et des escortes de Dijon

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Les étrangères sous la coupe de réseaux mafieux

Une large majorité des prostituées dijonnaises sont des femmes étrangères, principalement originaires d’Afrique de l’Ouest et de l’Est de l’Europe. Souvent en situation irrégulière, ne parlant pas le français, elles sont sous la coupe de vastes réseaux mafieux qui contrôlent leur activité de bout en bout. Ces filières criminelles organisent leur venue en France, leur hébergement, leur publicité, et encaissent l’essentiel de leurs revenus, ne leur laissant qu’une maigre part. Totalement isolées, ne connaissant personne, ces femmes sont contraintes d’obéir sous la menace. Leur passeport confisqué, leur famille restée au pays faisant l’objet de pression, elles n’ont pas d’autre choix que de se soumettre à cette exploitation sexuelle et humaine.

Les étudiantes en quête d’argent facile

On trouve également parmi les travailleuses du sexe dijonnaises des étudiantes, le plus souvent précaires, qui se prostituent pour payer leurs frais de vie et leurs études. Attirées par l’appât du gain facile, flattées dans leur ego par la valorisation de leur corps, la tentation est grande de monnayer ses charmes pour arrondir ses fins de mois. La frontière est mince entre la liberté revendiquée de disposer de son corps, et la spirale dangereuse de la dépendance financière. Beaucoup de ces jeunes filles naivement attirées par l’escorting mettent le doigt dans un engrenage qui les dépasse rapidement.

Les mères célibataires dans le besoin

On trouve également parmi les travailleuses du sexe dijonnaises des femmes seules, des mères célibataires, ayant des difficultés à joindre les deux bouts. Face à la précarité financière, certaines mères isolées, démunies, choisissent – ou sont forcées – de se prostituer pour nourrir leurs enfants. Entre détresse sociale et choix désespéré, ces femmes vivent cette activité comme une honte mais n’entrevoient pas d’autre solution pour s’en sortir. Elles se cachent le plus souvent de leurs proches et mènent une double vie éprouvante psychologiquement.

Les quadragénaires en quête d’argent et de plaisir

On trouve également parmi les travailleuses du sexe dijonnaises des femmes plus âgées, quadragénaires et quinquagénaires, revendiquant leur liberté de choix. Mues par l’appât du gain mais aussi par plaisir du sexe, assumant pleinement leur démarche, elles fixent leurs propres règles et choisissent leurs clients. Se décrivant comme des « escorts », éloignées des réseaux de traite, elles considèrent la prostitution comme un métier, un business lucratif et excitant. Toutefois, même librement consentie, cette activité laisse des traces psychologiques indélébiles et expose à de nombreux dangers.

Les transsexuelles en marge de la société

Enfin, la prostitution dijonnaise compte une part non négligeable de travailleuses du sexe transsexuelles ou transgenres. Encore davantage victimes de discrimination à l’emploi, beaucoup se tournent vers la prostitution faute de moyens de subsistance. La marginalisation sociale et l’exclusion du monde professionnel ordinaire les acculent à monnayer leur corps pour survivre. Doublement stigmatisées, méprisées, elles sont extrêmement vulnérables face aux violences, aux abus et aux risques sanitaires.

Ainsi, parcours de vie compliqués, précarité sociale et économique, discrimination, isolement, poussent de nombreuses femmes, qu’elles soient étrangères, jeunes, mères ou trans, dans les bras de la prostitution à Dijon. Mais qui sont ces hommes prêts à payer pour assouvir leurs désirs sur ces corps monnayés ?

Le profil des clients de la prostitution à Dijon

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Les cadres stressés en quête d’évasion

Une partie non négligeable des clients réguliers des prostituées dijonnaises sont des cadres supérieurs, des chefs d’entreprise, des professions intellectuelles. La quarantaine dépassée, mariés, pères de famille, leur vie bien rangée manque de folie et de transgression. L’univers codifié du travail et le conformisme social les étouffent. L’idée d’assouvir leurs fantasmes refoulés avec une prostituée jeune et sexy les excite. Même s’ils s’en cachent, ils n’hésitent pas à prendre sur leur temps de travail pour ces parenthèses dominées par le sexe tarifé, avant de retrouver leur costard-cravate.

Les ouvriers et employés en manque d’affection

Autre profil type du client de prostituées : l’ouvrier ou l’employé célibataire. La solitude et la dureté de leurs conditions de travail contrastent avec le besoin de réconfort et de chaleur humaine. Les bars et les prostituées sont leur seul exutoire pour combler un manque affectif criant et trouver l’illusion fugace d’une relation. Même tarifée et sans lendemain, la proximité d’un corps féminin réchauffe un peu leur morne quotidien et leur permet de supporter leur labeur.

Les hommes d’affaires en déplacement professionnel

Les hommes d’affaires de passage à Dijon pour raisons professionnelles alimentent aussi le marché de la prostitution locale. Seuls le temps d’un déplacement, d’un séminaire ou d’une convention, la tentation est grande de pimenter leur soirée d’une rencontre sexy avec une call-girl. Combinant ennui, solitude, pouvoir d’achat et pulsions refoulées, ces hommes mariés n’hésitent pas à « tromper » leur épouse avec une prostituée. C’est un moyen comme un autre de décompresser d’un voyage d’affaires et d’évacuer la pression.

Les étudiants initiateurs en quête d’expériences

La prostitution dijonnaise compte aussi parmi ses clients une part non négligeable d’étudiants. Jeunes, plein d’hormones, désargentés et maladroits avec la gent féminine, l’idée de vivre leur première fois avec une professionnelle rassurante les séduit. Permettant de s’initier au sexe sans risque de se ridiculiser auprès d’une partenaire « classique », la passerelle avec une prostituée expérimentée les attire autant qu’elle les effraie. Au-delà de la simple expérience initiatique, certains reproduisent jusqu’à l’addiction ce schéma sexualité tarifée, par peur d’établir une relation épanouie.

Les handicapés en quête d’une sexualité ordinaire

Enfin, les prostituées dijonnaises comptent parmi leurs clients réguliers des personnes en situation de handicap, physique ou mental. Les difficultés pour nouer des relations amoureuses « normales » et assouvir leurs besoins sexuels les poussent à recourir aux services tarifés de professionnelles. Au-delà du plaisir physique, ces rencontres leur apportent le sentiment rassurant d’une sexualité et d’une vie affective ordinaires. Toutefois, malgré les apparences, ce succédané de relation intime ne comble pas leur désir profond d’une authentique connexion.

On le voit, des cadres supérieurs aux ouvriers, des hommes d’affaires aux étudiants, tout le panel de la société est représenté parmi les clients de la prostitution dijonnaise. Solitude, désir de transgression, pulsions refoulées, handicap relationnel, poussent ces hommes de tout âge et toute condition à franchir le pas d’une sexualité tarifée.

Les raisons d’éviter le recours à la prostitution

Le risque de contracter des MST

La première raison d’éviter le recours à la prostitution est le danger de contracter une maladie sexuellement transmissible. Malgré les précautions prises, les rapports non protégés exposent à des infections telles que le VIH/SIDA, l’hépatite B, la syphilis, le papillomavirus, la gonorrhée, la chlamydia, etc. Or de nombreuses prostituées ne sont pas régulièrement dépistées, et peuvent être porteuses de maladies à leur insu, qu’elles transmettront aux clients. Un risque sanitaire majeur à ne pas prendre à la légère.

La participation involontaire à la traite d’êtres humains

Derrière le paravent de la prostitution se cachent souvent des réseaux mafieux et de la traite d’êtres humains. En ayant recours à une prostituée, on prend le risque, même inconsciemment, de participer à cette exploitation et cette maltraitance. Mieux vaut s’abstenir que de cautionner ces abus, cette privation de liberté et cette violence à l’égard de femmes vulnérables.

L’addiction et la déshumanisation des rapports

Le recours répété à des prostituées, même librement consentantes, crée un phénomène d’accoutumance et d’addiction. On finit par ne plus concevoir les relations intimes autrement que de façon tarifée et déshumanisée. Cette marchandisation du sexe fausse durablement la vision des rapports hommes-femmes et rend incapable de nouer une relation saine.

Les conséquences psychologiques des deux côtés

Au-delà des dangers physiques, la prostitution a des répercussions psychologiques lourdes sur les deux parties. Du côté des prostituées, l’activité est source de traumatismes et laisse des séquelles durables. Du côté du client, le recours abusif à des relations sexuelles « faciles » mais dénuées de sentiments finit par générer une profonde misère affective.

L’illégalité

Enfin, dernier argument de poids : le recours à la prostitution est illégale en France depuis 2016. Le client s’expose à une amende pouvant aller jusqu’à 1500€ et bien plus en cas de récidive. Au-delà de l’amende, c’est le casier judiciaire qui est entaché par cette infraction, avec des répercussions durables sur la vie privée et professionnelle.

 

Sources
  • https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/vous-avez-profite-de-la-misere-humaine-un-reseau-de-prostitution-demantele-a-dijon-et-chalon-sur-saone-2872745.html
  • https://www.francebleu.fr/infos/societe/enquete-la-prostitution-dijon-peu-visible-mais-bien-reelle-1423458000
  • https://aide-escort-prostitution-dijon.fr/
  • https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2019/11/06/prostitution-dans-un-immeuble-ils-temoignent-de-leur-exasperation
  • https://www.frequenceplus.info/un-reseau-de-proxenetisme-demantele-en-bourgogne-4bca.html

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