La ville de Caen, comme beaucoup d’autres villes françaises, est concernée par le phénomène de la prostitution. Découvrons ensemble où les clients sont susceptibles de croiser une prostituée à Caen. Une alternative efficace pour une rencontre sexe gratuite avec des femmes caennaises est proposée.

Attention !
La loi française interdit le recours à la prostitution. Il est préférable d’utiliser le meilleur site de sexe gratuit (JM Date) pour coucher avec une femme sans payer. Si vous avez des doutes, lisez notre avis sur JM Date ICI !

Où croiser une prostituée ou une escorte à Caen ?

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La Presqu’île, haut lieu historique

C’est dans ce vaste quartier en pleine mutation, niché entre le centre-ville, la gare SNCF et le canal que la prostitution est historiquement installée à Caen.

Ses nombreuses friches urbaines et ses axes routiers en font un territoire facile d’accès et discret pour les activités illicites. On y trouve ainsi des camionnettes et des caravanes le long du Cours Caffarelli, du Cours Montalivet ou encore du Quai de Juillet, où montent et descendent les clients.

La nuit venue, certaines prostituées arpentent également à pieds les rues désertes de cette zone en manned pour trouver preneurs. Le cours Caffarelli notamment est un point de fixation connu pour cela.

On y croise majoritairement des femmes étrangères, Africaines, Est-européennes ou Sud-américaines. Mais également quelques Françaises, parfois déjà bien installées de longue date sur ce territoire.

Le centre-ville, entre luxe et détresse

On aurait tort de croire le phénomène cantonné aux quartiers sensibles en marge du centre historique. Car en plein coeur touristique de la ville, l’activité perdure à bas bruit.

Certes, la réhabilitation des quais de l’Orne a expulsé les prostituées de ce secteur désormais trop fréquenté. Mais il suffit de s’éloigner quelque peu des zones commerçantes, derrière la gare ou du côté des rues Saint-Jean et Caponière, pour apercevoir des ombres faire le trottoir à la nuit tombée.

Le contraste est saisissant entre le luxe des devantures et la détresse de ces femmes contraintes de vendre leur corps pour quelques dizaines d’euros à quelques mètres seulement des vitrines éclairées.

Les boulevards périphériques, aux portes de la ville

Autre facette de cette activité protéiforme : la prostitution le long des grands axes routiers aux entrées de la ville.

Sur le Boulevard Yves Guillou ou le Boulevard Leroy, des camionnettes stationnent en soirée à proximité des échangeurs, guettant le client pressé de passer à l’acte avant de rentrer chez lui.

Moins exposées aux forces de l’ordre dont les rotations se concentrent en centre-ville, elles attirent une clientèle d’habitués vivant dans les couronnes périurbaines.

On y rencontre beaucoup de françaises, quadragénaires ou quinquagénaires, parfois usées par des décennies passées dans le métier.

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L’escorting, la face cachée de la prostitution caennaise

Si la prostitution de rue est la partie émergée de l’iceberg, une partie souterraine existe également à Caen via des sites d’escorting et des salons de massage.

Sur des sites spécialisés, des centaines d’annonces vantent les charmes de prétendues étudiantes ou jeunes actives proposant des services tarifés. Derrière ces petites annonces alléchantes se cachent parfois de véritables réseaux organisés qui font venir des femmes de l’étranger pour ensuite confisquer leurs papiers et les forcer à se prostituer.

Côté salons de massage, érotique ou non, certains servent également de couverture à la prostitution. Le client y vient pour un soi-disant modelage avant que la praticienne ne lui propose, moyennant supplément, une finale plus poussée.

Moins visibles que la rue certes, mais pas moins dangereux pour les femmes qui se retrouvent soumises à cette exploitation sexuelle déguisée.

Le tabou de la prostitution étudiante

Parmi les annonces alléchantes pullulent également celles de soi-disant étudiantes, s’adonnant à la prostitution entre deux cours pour payer leurs études ou sortir.

Un phénomène tabou mais bien réel, comme en attestent les témoignages recueillis par des associations. La précarité galopante chez les jeunes pousse certaines à franchir le pas, parfois à leur corps défendant.

Au-delà des risques physiques, c’est toute la scolarité qui se retrouve compromise par cette activité clandestine nocturne. Un cercle vicieux dont il est difficile de sortir par la suite une fois installé.

L’alternative gratuite pour une rencontre sexe à Caen

Plutôt que de prendre le risque de fréquenter des prostituées dans les rues de Caen avec tous les dangers que cela comporte, il existe des solutions plus sûres et légales pour les hommes en quête de rencontre sexe gratuite à Caen.

Le boom des sites sexuels

Ces dernières années ont vu exploser le nombre de sites dédiés exclusivement aux rencontres sans lendemain. Le leader du secteur, JM Date, revendique pas moins des millions d’inscrits en France.

Le principe est simple : après avoir créé un profil détaillé, l’utilisateur peut rentrer en contact avec des femmes célibataires ou en couple recherchant une aventure sexuelle sans prise de tête en Normandie.

L’avantage de cette solution, c’est que toutes les femmes sont majeures et consentantes. Et qu’il est possible de discuter et d’apprendre à se connaître avant de fixer un rendez-vous coquine, afin de s’assurer que le courant passe bien.

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Des femmes libérées assumant leur désir de sexe

Grâce à la révolution sexuelle et à la libération de la parole, de plus en plus de femmes osent aujourd’hui afficher clairement leur envie de relations sexuelles récréatives, sans engagement affectif.

Sur ces sites, on trouve ainsi aussi bien des célibataires en manque d’affection, des étudiantes cherchant à pimenter leur vie sexuelle, ou encore des femmes mariées ou en couple qui veulent pimenter leur vie sexuelle en toute discrétion.

Du sexe sans risque, en toute légalité

Contrairement à la prostitution, ce type de plans cul entre adultes consentants est 100% légal et exempt de risques pénaux ou sanitaires du moment que les précautions d’usages sont prises.

Pas de possibilité de tomber sur une mineure ou d’être confronté à une situation contre votre gré. Vous reste plus qu’à trouver la perle rare parmi les centaines de profils de femmes caennaises inscrites et à convenir d’un rendez-vous coquin chez vous ou à l’hôtel.

Qui sont les escortes de Caen ?

Derrière l’anonymat de leur activité se cachent des profils très variés parmi la gent féminine se livrant à la prostitution dans les rues de Caen mais surtout en ligne.

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Des étrangères en situation irrégulière

Une grande majorité des prostituées sont des femmes étrangères venues de pays économiquement défavorisés comme le Nigeria, le Cameroun, la Roumanie ou encore le Brésil.

Arrivées clandestinement en France après un périple éprouvant, elles se retrouvent souvent sans papiers sur le territoire. De ce fait, elles sont dans l’impossibilité de trouver un travail légal et régularisé.

Contraintes de survivre par tous les moyens, elles se tournent alors vers la prostitution poussées par des proxénètes. Ou choisissent cette voie en dernier recours faute d’alternative.

Des mères de familles dans le besoin

Parmi ces femmes immigrées, beaucoup sont des mères de familles, parfois seules avec des enfants. Leurs maigres revenus au pays ne leur permettant pas de subvenir à leurs besoins, elles prennent tous les risques pour tenter leur chance en Europe.

Une fois sur place, démunies, elles se retrouvent acculées à la prostitution pour nourrir leurs enfants restés au pays et payer leurs études, avec l’espoir de jours meilleurs.

Des étudiantes en galère financière

On trouve également parmi les travailleuses du sexe des étudiantes, françaises ou étrangères. Face à la précarité financière, certaines jeunes femmes font le choix de se prostituer occasionnellement pour boucler leurs fins de mois difficiles.

Attirées par des revenus substantiels pour quelques passes, elles basculent dans l’illégalité en espérant que cela reste temporaire. Mais gagner en une nuit ce qu’elles toucheraient en un mois avec un petit boulot est tentant pour poursuivre…

Des quadras en errance de vie

Cas un peu à part, on retrouve également des prostituées françaises quadragénaires voire quinquagénaires, parfois usées par des années d’errance et de précarité.

Toxicomanie, maladie, rupture familiale… nombreux sont les accidents de parcours qui ont conduit ces femmes déjà fragilisées sur le trottoir faute de mieux.

Stigmatisées, abîmées psychologiquement, elles continuent de vendre leurs charmes défraîchis pour survivre, fantômes invisibles errant aux marges de la société.

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Pourquoi éviter de payer une prostituée ?

Bien que la prostitution soit parfois perçue comme un exutoire ou une expérience banale par certains hommes, y recourir à Caen comporte de nombreux risques qu’il convient de garder à l’esprit.

Une activité illégale aux lourdes sanctions

Tout d’abord, la loi française interdit clairement l’achat de services sexuels depuis 2016. Un client encourt ainsi jusqu’à 1500€ d’amende et un casier judiciaire en cas de récidive.

Outre les conséquences pénales, être fiché comme client de prostituées peut sérieusement nuire à votre réputation et votre vie privée si ces informations venaient à fuiter.

Des risques sanitaires accrus

Ensuite, sur le plan sanitaire, avoir une relation sexuelle avec une prostituée augmente sensiblement les risques de contracter une infection sexuellement transmissible même avec protection.

Entre les conditions d’hygiène souvent douteuses et l’exposition à de multiples partenaires, le danger est réel de ramener syphilis, gonorrhée ou pire encore le VIH dans votre lit conjugal par négligence.

Un facteur aggravant de violences faites aux femmes

De plus, de récentes études établissent un lien entre le fait de payer pour du sexe et des comportements violents ou irrespectueux vis-à-vis des femmes par la suite.

En contribuant à la marchandisation du corps féminin, le client de prostituées participe malgré lui au cercle vicieux des violences faites aux femmes déjà bien ancrées dans la société.

Le risque de tomber sur une prostituée mineure

Parmi les femmes qui se prostituent dans les rues de Caen se cachent parfois également des mineures, contraintes de vendre leur corps par des proxénètes peu scrupuleux.

Difficile dans le feu de l’action de s’assurer de l’âge de son partenaire d’un soir. Un client même involontaire risks de ce fait une incarcération pour viol sur mineur et un lourd traumatisme psychologique.

Des conditions de vie insupportables

Des femmes exploitées et vulnérables

La très grande majorité des prostituées qui officient à Caen viennent de l’étranger. Beaucoup arrivent du Nigeria, par des filières d’immigration clandestines qui leur font miroiter un avenir meilleur en France. D’autres viennent des pays de l’Est comme la Roumanie.

Leurs passeurs, souvent liés à des réseaux de proxénétisme, confisquent leurs papiers d’identité dès leur arrivée en France. Ces femmes se retrouvent alors en situation irrégulière, forcées de se prostituer pour rembourser leurs frais de passage et faire vivre leur famille restée au pays.

Elles sont exploitées et maintenues sous l’emprise de ces réseaux qui n’hésitent pas à user de violence et de chantage pour s’assurer leur docilité. La peur des représailles sur leurs proches est un moyen de pression efficace.

Ces femmes sont également très vulnérables face aux risques sanitaires et aux violences de la part des clients. Elles changent régulièrement de ville sur ordre des proxénètes pour éviter qu’elles ne nouent des liens avec des associations ou services sociaux susceptibles de les aider.

Leur grande précarité et le fait qu’elles soient en situation irrégulière rend leur sortie de la prostitution extrêmement difficile, malgré l’existence de dispositifs dédiés.

Des conditions de travail dégradées

Faute de moyens et de soutien, les call girls de Caen sont contraintes d’exercer leur activité dans des conditions bien souvent dégradées et dangereuses.

La plupart officient dans des camionnettes garées dans des rues isolées de la Presqu’île ou du centre-ville. Elles y receptionnent leurs clients pour de rapides passes, parfois moins de 15 minutes. L’hygiène y est sommaire, le confort rudimentaire.

Certaines sont à pied et proposent à leurs clients de les suivre vers un endroit de leur choix. Cette pratique est risquée pour les prostituées qui s’isolent ainsi du reste du groupe et demeurent vulnérables face à un éventuel client violent.

Leurs revenus sont aléatoires. Elles dépendent du bon vouloir des clients et du temps qu’il fait, l’activité étant davantage soutenue les soirs d’été. Avec la crise sanitaire, de nombreuses prostituées ont vu leur clientèle fondre et leurs revenus avec.

La crainte des forces de l’ordre

Bien que tolérée dans les faits, la prostitution n’en demeure pas moins une activité illégale en France. Les prostituées sont donc en infraction et s’exposent à des amendes ou des interpellations de la part de la police.

La plupart sont en situation irrégulière et craignent par dessus tout d’être placées en rétention avant d’être expulsées manu militari. C’est pourquoi elles changent régulièrement de lieu de travail au gré des opérations de police.

Quitter la prostitution, un parcours du combattant

Pour les prostituées étrangères exploitées qui souhaitent sortir de cette condition et se réinsérer dans la société, le parcours est semé d’embûches.

Tout d’abord, il leur faut trouver le courage et la force de rompre avec leurs proxénètes, ce qui n’est pas chose aisée tant leur emprise psychologique et la menace qui pèse sur leurs familles sont grandes. Une fois cette étape franchie, de nombreuses démarches administratives sont nécessaires pour obtenir un titre de séjour et accéder aux minimas sociaux. La barrière de la langue et les traumatismes subis sont autant d’obstacles sur leur chemin.

Seules quelques associations comme Le Nid ou Itinéraires sont là pour les épauler et leur offrir un soutien psychologique. Mais les moyens financiers manquent cruellement pour venues en aide à toutes ces femmes. Le regard de la société est également une épreuve supplémentaire. La honte et la crainte d’être reconnues entravent la réinsertion de nombreuses ex-prostituées.

Vers une éradication de la prostitution à Caen ?

La municipalité de Caen n’a de cesse de vouloir améliorer l’image de la ville et d’embellir son cadre de vie. La rénovation des quais de l’Orne ou encore de la Presqu’île s’inscrit dans cette volonté de mettre en valeur le patrimoine local.

Conséquence directe : les prostituées, indésirables, sont peu à peu repoussées loin des quartiers touristiques et reléguées dans les dernières friches encore non réhabilitées du nord de la Presqu’île.

Mais pour combien de temps encore ? Le réaménagement progressif de toute cette zone à proximité de la gare SNCF risque à terme de les priver de leur dernier territoire.

La mairie espère ainsi qu’en leur coupant l’herbe sous le pied, les prostituées n’auront d’autre choix que de quitter la ville. Une politique que dénoncent certains observateurs, qui ne règle en rien le problème mais se contente de le déplacer hors des regards.

Sources
  • https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/a-caen-il-louait-des-appartements-a-des-prostitues-sa-culpabilite-confirmee-18acd246-ffb5-11ed-928e-67be41354159
  • https://www.tendanceouest.com/actualite-390400-enquete-caen-prostitution-quitter-le-trottoir-un-reve
  • https://caen.maville.com/actu/actudet_-caen.-les-proxenetes-roumains-tres-forts-pour-s-adapter_52656-3614563_actu.Htm
  • https://atlas-social-de-caen.fr/index.php?id=901
  • https://www.francebleu.fr/infos/societe/enquete-la-prostitution-caen-1385701200
  • https://actu.fr/normandie/caen_14118/covid-19-le-quotidien-des-prostituees-bouleverse-par-la-crise-sanitaire-a-caen_41070202.html

3 Avis pour “Prostituée à Caen : lieux & alternative pour une rencontre sexe gratuite”

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