Faire l’amour attaché : mes conseils bondage pour femme et homme

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Ah, le bondage ! Ce mot qui fait frissonner certains et rougir d’autres. Mais ne vous y trompez pas, mes chers lecteurs aventureux, le bondage n’est pas réservé aux adeptes du cuir et des donjons sombres. Non, non, non ! C’est un monde de sensations exquises qui s’ouvre à tous les couples curieux d’explorer de nouveaux horizons sensuels. Alors, prêts à vous laisser tenter par le doux frôlement d’une corde sur votre peau ? Voici comment faire l’amour attaché avec votre femme ou votre homme et mes conseils pour réussir !

Le b.a.-ba du bondage : ou comment transformer votre chambre en terrain de jeu coquin ?

Commençons par le commencement, mes apprentis libertins. Le bondage, c’est quoi au juste ? C’est l’art délicat de restreindre les mouvements de son partenaire pour décupler le plaisir. Imaginez un instant : vous êtes allongé(e), les yeux bandés, les poignets délicatement liés aux montants du lit. Chaque caresse devient une surprise, chaque baiser une découverte. Excitant, non ?

L’acte sexuel avec des liens évoque les pratiques BDSM, notamment le bondage. Selon une étude récente, les personnes qui s’adonnent à de telles pratiques ont une satisfaction sexuelle supérieure à la norme.

Mais attention, on ne se lance pas dans le bondage comme on se jette à l’eau ! C’est un peu comme apprendre à nager : il faut y aller progressivement, avec un bon maître-nageur (en l’occurrence, un partenaire attentif et à l’écoute). La confiance, mes amis, c’est la clé de voûte de cette pratique. Sans elle, point de salut !

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Le matériel du parfait pour faire l’amour attaché

Bon, maintenant que vous êtes chauds comme la braise, parlons un peu matos pour l’amour attaché. Non, ne vous ruez pas sur le premier bout de ficelle venu ! Le bondage, c’est tout un art, et comme tout art, il nécessite les bons outils.

Commençons par les cordes. Ah, les cordes ! Soyeuses, douces, elles glissent sur la peau comme une caresse. Optez pour du coton ou du nylon, avec un diamètre d’environ 5-8 mm. C’est le must have du bondage, polyvalent à souhait. Vous pouvez faire des nœuds dignes d’un marin chevronné (sans le côté salé, bien sûr).

Ensuite, les menottes. Non, pas celles de l’agent Dupont du commissariat du coin ! Je parle de jolies menottes rembourrées, confortables comme un petit nuage. Idéales pour les débutants qui n’ont pas encore les doigts de fée nécessaires pour les nœuds complexes.

N’oublions pas les bandeaux et les baillons. Privez votre partenaire de la vue ou de la parole, et vous verrez ses autres sens s’éveiller comme par magie. C’est fou comme on peut devenir réceptif quand on ne peut plus voir ou parler !

Et pour finir en beauté, les sangles de lit. Pratiques, discrètes, elles transforment votre lit douillet en un véritable terrain de jeu érotique. Plus besoin de faire des nœuds d’alpiniste sur vos montants de lit !

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Les positions qui vont vous faire grimper aux rideaux

Ah, les positions ! C’est là que ça devient vraiment intéressant. Oubliez le bon vieux missionnaire (enfin, pas complètement, il a aussi ses charmes). Le bondage ouvre tout un monde de possibilités excitantes.

Commençons par le classique revisité : le missionnaire attaché. Mesdames (ou messieurs, chacun son tour), allongez-vous sur le dos, les bras au-dessus de la tête, les chevilles délicatement liées aux montants du lit. Vous voilà offert(e) à votre partenaire, incapable de bouger, chaque caresse devenant une torture exquise. Le contact visuel intense ajoute une dimension émotionnelle forte à cette position. C’est hot, c’est intense, c’est le bondage pour les romantiques !

Pour les plus aventureux, passons à la levrette attachée. À quatre pattes, les poignets liés aux chevilles, vous voilà dans une position de totale soumission. C’est le moment de lâcher prise, de s’abandonner complètement aux caresses de votre partenaire. La sensation d’impuissance peut être incroyablement excitante. Et pour celui ou celle qui n’est pas attaché(e), quel festin pour les yeux et les mains !

Envie d’inverser les rôles ? Essayez l’amazone attachée. Mesdames, asseyez-vous sur votre homme, les mains liées dans le dos. Vous gardez le contrôle du rythme et de la profondeur, tout en étant partiellement entravée. C’est un délicieux paradoxe qui peut mener à des orgasmes fulgurants.

Pour les moments de tendresse, rien ne vaut la position de la cuillère attachée. Allongés sur le côté, la personne attachée a les mains liées devant elle. C’est doux, c’est intime, c’est parfait pour une séance de bondage en mode câlin. Idéal pour les longues nuits d’exploration sensuelle.

Et pour finir en beauté, que diriez-vous d’une petite séance debout contre le mur ? La personne attachée est debout face au mur, les mains liées au-dessus de la tête. C’est intense, c’est dominant, c’est parfait pour les petits jeux de rôle coquins. Qui a dit que le bondage devait se limiter au lit ?

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L’art délicat du nouage : ou comment ne pas finir emmêlé comme un sac de nœuds

Bon, maintenant que vous avez une idée des positions, parlons technique. Parce que oui, attacher son partenaire, ça ne s’improvise pas. À moins que vous ne souhaitiez finir dans une situation digne d’une comédie romantique ratée, avec des nœuds impossibles à défaire et un appel gênant aux pompiers…

Commençons par le b.a.-ba : le nœud de base. C’est un peu le couteau suisse du bondage. Faites une boucle, passez l’extrémité dedans, serrez… et voilà ! Simple, efficace, et surtout, facile à défaire. Parce que oui, à un moment donné, il faudra bien libérer votre partenaire (à moins que vous ne prévoyiez de le garder attaché pour toujours, mais ça, c’est une autre histoire).

Ensuite, la technique des colonnes. Idéale pour attacher confortablement les membres. Entourez la zone à attacher en spirale, faites plusieurs tours, puis passez la corde entre les tours pour bloquer. C’est comme emballer un cadeau, mais le cadeau, c’est votre partenaire. Et croyez-moi, c’est un cadeau qui fait plaisir à déballer !

Pour les plus ambitieux, le harnais de poitrine. Ça a l’air compliqué comme ça, mais c’est comme faire du macramé, en plus sexy. Placez le milieu de la corde au centre du dos, croisez sur la poitrine, dans le dos, faites le tour du corps… C’est un peu comme jouer à la corde à sauter, mais version adulte et très, très hot.

Et pour finir, les liens en étoile. Ça, c’est pour les pros. Vous attachez les poignets ensemble, vous les reliez aux chevilles avec des cordes en diagonale, et vous fixez le tout au lit. Résultat ? Votre partenaire ressemble à une étoile de mer très consentante. C’est beau, c’est artistique, c’est excitant.

Mais n’oubliez jamais la règle d’or : toujours laisser un espace de 1-2 doigts entre la peau et les liens. On veut du plaisir, pas des fourmis dans les mains !

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La communication : parce que le bondage, ce n’est pas un jeu de mime

Alors là, mes petits coquins, on arrive au point crucial. La communication, c’est la colonne vertébrale du bondage (et oui, on peut faire des jeux de mots avec le bondage, c’est ça qui est bon). Sans une communication claire et ouverte, votre séance de bondage risque de virer au fiasco monumental.

Avant de vous lancer, prenez le temps de discuter. Et quand je dis discuter, je ne parle pas de parler de la pluie et du beau temps autour d’un thé. Non, je parle d’une vraie conversation, franche et ouverte, sur vos envies, vos limites, vos fantasmes. C’est le moment de tout mettre sur la table (ou sur le lit, c’est selon).

Établissez une liste de ce qui est permis et de ce qui est interdit. C’est un peu comme faire les courses, mais en beaucoup plus excitant. « Fessées ? Oui. Pinces à tétons ? Pourquoi pas. Chatouilles sous les pieds ? Ah non, pitié ! » Vous voyez le genre ?

Et surtout, choisissez un mot de sécurité. C’est comme le bouton rouge dans un sous-marin : en cas de problème, on appuie et tout s’arrête. Évitez les mots qu’on pourrait dire dans le feu de l’action comme « stop » ou « non ». Préférez quelque chose d’incongru comme « ananas » ou « kangourou ». Ça peut paraître ridicule, mais croyez-moi, quand vous êtes attaché et que les choses deviennent un peu trop intenses, vous serez bien content de pouvoir crier « RUTABAGA ! » pour tout arrêter.

Pendant la séance, n’hésitez pas à verbaliser. « Un peu plus à gauche », « Moins serré », « Oh oui, continue comme ça ! »… La communication, c’est sexy ! Et ça évite les malentendus gênants du genre « Je croyais que tu aimais ça » – « Bah non, pas du tout, je faisais juste semblant pour te faire plaisir ».

Et après la séance, prenez le temps de débriefer. C’est comme après un bon film : on en parle, on partage ce qu’on a aimé, ce qui nous a moins plu. C’est le moment d’exprimer vos ressentis, vos émotions. Et qui sait, ça pourrait même vous donner des idées pour la prochaine fois… Si vous êtes à la recherche d’une partenaire soumise qui aime être attachée, n’hésitez pas à consulter notre classement des meilleurs sites de bondage !

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Les bienfaits insoupçonnés du bondage : ou comment allier plaisir et développement personnel

Vous pensiez que le bondage n’était qu’une pratique sexuelle un peu kinky ? Détrompez-vous ! C’est aussi un formidable outil de développement personnel. Si, si, je vous assure !

D’abord, parlons confiance. Se laisser attacher, c’est un acte de confiance absolu envers son partenaire. C’est lui dire « Je te fais confiance au point de me rendre complètement vulnérable ». Et ça, mes amis, ça renforce les liens du couple (sans mauvais jeu de mots) comme peu de choses peuvent le faire.

Ensuite, le lâcher-prise. Dans notre société où tout va à cent à l’heure, où on doit toujours tout contrôler, s’abandonner totalement peut être incroyablement libérateur. C’est comme des vacances pour votre cerveau : plus besoin de penser, de décider, juste ressentir. C’est presque méditatif, en fait. Le bondage comme pratique de pleine conscience, qui l’eût cru ?

Le bondage permet aussi d’explorer de nouvelles sensations. Quand on est privé de la vue ou du toucher, les autres sens s’éveillent. Soudain, le moindre effleurement devient électrique, le moindre souffle sur la peau est une tempête de sensations. C’est comme redécouvrir son corps, ses zones érogènes. C’est un voyage sensoriel intense.

Et que dire du dépassement de soi ? Repousser ses limites dans un cadre sécurisant et bienveillant, c’est extrêmement valorisant. Ça booste la confiance en soi comme pas deux. « Si j’ai réussi à me laisser attacher et à adorer ça, je peux tout faire ! » C’est un peu comme un saut en parachute, mais en beaucoup plus agréable (et moins venteux).

N’oublions pas l’intimité. Le bondage crée une proximité physique et émotionnelle incroyable entre les partenaires. C’est un moment de connexion intense, presque fusionnel. C’est comme si le reste du monde disparaissait, ne laissant que vous deux et vos sensations.

Et pour finir, parlons stress. Eh oui, le bondage peut être un formidable anti-stress. L’immobilisation peut avoir un effet apaisant, permettant de se reconnecter à l’instant présent. C’est un peu comme un cocon protecteur qui vous isole des soucis du quotidien. Qui a besoin de méditation quand on a des cordes ?

Les précautions à prendre : parce que le bondage, ce n’est pas n’importe quoi

Bon, maintenant qu’on a parlé des côtés fun et excitants du bondage, il faut qu’on ait une petite conversation sérieuse. Comme toute pratique sexuelle un peu poussée, le bondage comporte certains risques. Mais ne vous inquiétez pas, avec quelques précautions, vous pourrez profiter de tous les plaisirs sans les inconvénients.

D’abord, les risques physiques. Oui, je sais, c’est pas très sexy, mais c’est important. Une mauvaise technique de ligotage peut entraver la circulation sanguine ou comprimer des nerfs. Imaginez un instant : vous êtes là, dans les affres de la passion, quand soudain votre bras s’engourdit comme s’il appartenait à quelqu’un d’autre. Pas vraiment l’effet recherché, n’est-ce pas ?

Ensuite, attention aux chutes ! Si vous décidez de jouer les acrobates et de tenter une suspension, assurez-vous que vos nœuds sont aussi solides que votre libido. Personne n’a envie de finir sa soirée coquine aux urgences avec une belle bosse sur la tête.

N’oublions pas les risques émotionnels. Le bondage peut être une expérience intense, parfois même bouleversante. Il n’est pas rare que des émotions fortes surgissent, parfois de façon inattendue. C’est comme ouvrir la boîte de Pandore, mais version sexy : on ne sait jamais ce qui va en sortir !

Mais ne vous inquiétez pas, mes petits aventuriers du plaisir, avec quelques précautions, vous pouvez transformer ces risques en frissons excitants. Voici mes conseils en or :

  • Communiquez, communiquez, communiquez ! Parlez avant, pendant et après. C’est comme un bon sandwich : la communication doit être partout.
  • Choisissez un mot de sécurité. Quelque chose de simple, mais qu’on ne risque pas de dire par accident au milieu de l’action. « Ananas » ou « kangourou » font très bien l’affaire.
  • Gardez toujours des ciseaux à portée de main. Pas pour couper l’ambiance, mais pour couper les liens en cas d’urgence.
  • Vérifiez régulièrement la circulation. Si une partie du corps devient froide ou change de couleur, c’est le moment de desserrer un peu.
  • Hydratez-vous ! Le bondage, ça peut être un vrai sport.

En fin de compte, le bondage c’est comme la cuisine : avec les bons ingrédients, les bonnes techniques et une pincée d’audace, vous pouvez créer des moments vraiment savoureux. Alors lancez-vous, explorez, découvrez de nouvelles sensations. Mais n’oubliez jamais : la sécurité d’abord, le plaisir ensuite !

Et rappelez-vous, chers apprentis bondageurs : la pratique rend parfait. Alors n’hésitez pas à vous entraîner. Sur vous-même, sur votre partenaire consentant, ou même sur cette peluche qui traîne dans un coin de votre chambre (mais ne lui dites pas que c’est moi qui vous ai donné l’idée).

Sur ce, je vous laisse à vos cordes et vos nœuds. Que l’aventure commence, et que le plaisir soit avec vous !

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